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Synopsis
Un petit village moderne, à l'architecture géométrique et à la végétation tout aussi ordonnée. Une petite communauté humaine y vit tranquillement, à l'époque des premiers pas de la conquête spatiale. Ceci nourrit l'imaginaire et les jeux de deux enfants qui gravitent autour d'une poignée de personnages vaquant à leurs obsessions personnelles : un peintre amoureux des nuages, une chercheuse en morphogenèse végétale, un pilote amateur féru de réglages et son mécanicien autiste.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Une bouse odieuse, mélangeant une poésie poussive, un humour redondant aux fils grossiers et des leçons de science et d'art tellement au ras des pâquerettes que même Bernard Werber n'aurait pas essayé de nous arnaquer avec. Le film est déjà plombé par des acteurs sous valium se noyant en direct dans une absence (volontaire mais aussi inutile qu'inefficace) de scénario. La plupart des scènes durent environ quinze secondes (j'ai compté ...
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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 septembre 2013
Le pire film français que j'ai vu On s'ennuie Humour déplorable On ne souhaite que la fin de ce film Je suis allé le voir dans le cadre de l'option cinéma de mon lycée Et je ne sait vraiment pas quoi dire cette m.. 1/2 pour le beau bruit de la voiture
Avant d'être réalisateur de ses propres courts-métrages, Philippe Fernandez dessinait. Il a d'ailleurs fait lui-même le découpage technique de Léger tremblement du paysage avant de le tourner. Polyvalent, il a pour habitude d'occuper au minimum trois postes différents sur chacun de ses films. Ainsi, sur Léger tremblement du paysage , il est réalisateur bien sûr mais aussi scénariste, monteur et même compositeur de la musique originale, comme pour
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Un cinéma " de la décroissance "
Du naturel, rien que du naturel. Pour faire ce film, le réalisateur a voulu le minimum. Selon ses dires, il y a mis " peu de moyens, pas d'effets spéciaux, presque pas de scénario." Et si l'événement central est traité de manière peu spectaculaire c'est parce que " la réflexion qu'il génère doit primer sur un spectacle de sensations fabriquées. " Le tout au service d'un projet artistique fort singulier, qui a pour but de repenser le cinéma, au
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Leçon de "filmosophie"
Philippe Fernandez parle de ses films avec un mot qu'il a lui-même inventé, la "filmosophie". Le but de ses films serait uniquement de faire réflechir le spectateur. " Mes personnages ne sont pas des personnes, et mes films ne sont pas la transcription de la réalité.(...) mon but n'est pas d'émouvoir mais de donner à penser... " Le film a de surcroit été projeté aux quatorzièmes journées philosophiques de Vouillé.
AlloCiné
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