Mon compte
    L’Ombre du feu
    Note moyenne
    3,4
    8 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Culturopoing.com
    • Les Inrockuptibles
    • Première
    • Libération
    • Mad Movies
    • Télérama
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    8 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Ariel Schweitzer

    L’Ombre du feu évoque le chef-d’œuvre d’Elem Klimov, Requiem pour un massacre, par sa façon de traiter la déshumanisation provoquée par la guerre et comment celle-ci met brutalement fin à l’innocence de l’enfance. Mais si le film de Klimov était marqué par une esthétique spectaculaire, celui de Tsukamoto est minimaliste (...).”

    Culturopoing.com

    par Emmanuel Le Gagne

    L’Ombre du feu est un beau film fragile et déroutant, qui nourrit sa réflexion de l’impossible deuil de l’après-guerre en partant d’une situation excessive et déchirante, complément extrême au bouleversant Tombeau des lucioles avec qui il partage nombre de points communs.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Les Inrockuptibles

    par Léo Moser

    L’Ombre du feu est un curieux objet, virtuose dans son premier acte, nébuleux dans son second, hypnotique de bout en bout.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Première

    par Frédéric Foubert

    C’est un film « comme une prière », dit Tsukamoto, qui réfléchit à la déshumanisation des sociétés en guerre, avec peu de moyens, mais une sensibilité déchirante, et l’expressivité folle d’un enfant acteur, Oga Tsukao, au visage inoubliable.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Libération

    par Léo Soesanto

    Pas toujours subtil, mais au regard toujours tranchant.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Mad Movies

    par F.C

    À l'approche de ses 40 ans de carrière derrière la caméra, Shinya Tsukamoto nous tabasse toujours avec la même vigueur.

    Télérama

    par Augustin Pietron-Locatelli

    Dans ce film abrupt, aussi disert qu’imprévisible sur l’horreur de l’après-Seconde Guerre mondiale au Japon, le gamin sans nom est alors témoin de barbaries toujours plus crûment étalées. Et le réalisateur, à force de tout montrer ainsi, semble lui-même ne plus savoir ce qui est grave.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Le Monde

    par Ma. Mt

    L’Ombre du feu caresse une noirceur apocalyptique sans retour, mais aux dimensions d’un petit théâtre gêné aux entournures, où la caméra semble parfois brasser beaucoup d’air.

    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top